Les hanches sont des articulations fortement sollicitées : elles supportent tout le poids du haut du corps et sont l'une des articulations les plus mobiles du corps humain.
Diverses pathologies peuvent être la cause de maux de hanche. Et parfois, c'est une douleur que le repos n'atténue pas. Cette douleur et l'absence de nuit réparatrice peuvent avoir des répercussions dramatiques sur la qualité de vie.
Voyons ensemble comment soulager une douleur de hanche qui perdure au repos ou survient la nuit.
Pour comprendre l'apparition de la douleur de hanche et la pathologie qui en est la cause, un peu de physiologie s'impose.
Ces connaissances de base vous aideront aussi à adopter les bonnes positions et à exécuter les bons mouvements pour réduire la douleur qui vous tient éveillé la nuit.
Elles sont aussi indispensables en prévention : savoir comment fonctionne son corps permet de mieux en prendre soin.
La hanche, aussi appelée « articulation coxo-fémorale », est une articulation charnière : elle fait le lien entre le torse et les membres inférieurs. L'os de la cuisse (le fémur) vient s'emboîter dans l'os iliaque qui se trouve au niveau du bassin. La partie supérieure du fémur appelée « tête fémorale » est de forme sphérique et s'insère dans un renfoncement du bassin appelé « cotyle » (ou « acétabulum » ou « cavité cotyloïde ») comme le feraient deux pièces de puzzle.
Articulation de la hanche
Les deux os ne sont pas en contact direct : le cartilage, un tissu souple et très lisse lorsqu'il n'est pas abîmé, recouvre la tête fémorale et le cotyle. Il leur permet de glisser l'un contre l'autre sans accroche ni douleur lors des mouvements.
Le bourrelet cotyloïdien (ou « labrum ») qui se niche au creux de la cavité cotyloïde améliore encore le glissement des deux os, comme un petit coussin.
Puis, la capsule articulaire se fixe sur le bourrelet et vient recouvrir l'articulation comme un manchon faisant le lien entre le bassin et le fémur. Cette capsule est remplie de liquide synovial qui agit comme un lubrifiant.
La capsule articulaire et le bourrelet
La capsule articulaire et le bourrelet participent aussi à la stabilisation de la hanche.
Les ligaments sont des tissus fibreux extrêmement résistants qui s'insèrent sur deux os et les relient pour former une articulation. La stabilisation de la hanche est principalement le fait des 4 ligaments coxo-fémoraux (les ligaments ilio fémoral, ischio fémoral, pubo-fémorale et transverse acétabulaire).
Un tendon est la partie d'un muscle en forme de corde qui relie ce muscle à un os. Le tendon tout comme le muscle dans son entièreté participe aussi à la stabilité de l'articulation, mais par intermittence : lorsque le muscle se contracte.
La hanche a deux missions principales : permettre le mouvement des membres inférieurs et stabiliser le bassin. Pour les mener à bien, un nombre important de muscles, ligaments et tendons entrent en jeu.
Les muscles les plus puissants du corps humain y sont attachés : il s'agit des muscles fessiers (le grand fessier, le moyen fessier et le petit fessier), les muscles pelvi-trochantériens (le piriforme, l'obturateur externe, l'obturateur interne, le jumeau supérieur, le jumeau inférieur et le carré fémoral) et le psoas. Ces muscles engendrent la mise en mouvement de la hanche et permettent notamment la marche.
Cette petite machinerie bien huilée permet les mouvements
Les mouvements des membres inférieurs permis par les hanches
Malheureusement, il arrive que ces mouvements soient douloureux. Parfois même, la douleur au niveau de la hanche perdure au repos et la nuit. Quelle peut en être la cause ?
De nombreuses pathologies peuvent être cause de douleur à la hanche la nuit.
Gardez aussi en tête qu'une douleur au niveau de la hanche peut trouver sa source dans une pathologie affectant une autre zone corporelle, le dos par exemple. De même, la hanche peut être la région malade et la douleur se faire ressentir au niveau de l'aine, du genou ou des fesses. Seul votre médecin saura poser un diagnostic personnalisé sur vos maux.
Voici néanmoins un petit inventaire des pathologies les plus fréquentes.
L'arthrose de la hanche, aussi appelée « coxarthrose », est une usure de l'articulation. Elle débute par un amincissement puis une détérioration progressive et irréversible du cartilage : la tête fémorale et le cotyle achoppent à chaque mouvement de la hanche. Il s'en suit une inflammation articulaire.
Peu à peu, c'est toute la structure de l'articulation qui est malmenée : plus le cartilage s'amenuise plus la couche calcifiée qui se trouve entre le cartilage et l'os prend de l'ampleur. Les os sans protection et sans amorti se défendent en s'épaississant. L'os se déforme et des becs osseux appelés « ostéophytes » peuvent se créer.
L'arthrose est source de douleurs parfois intenses et d'un raidissement articulaire : la marche peut être entravée, monter des marches peut être difficile. La progression de la dégénérescence articulaire et l'intensité de la douleur à la hanche sont corrélées.
L'arthrose progresse par à-coups qu'on appelle « poussées ». Ces poussées, qui sont en fait une inflammation intense et passagère de l'articulation, adviennent souvent la nuit. Elles sont source de douleurs vives qui peuvent être ressenties au niveau de l'aine jusque sur l'avant de la cuisse ou dans la fesse jusque sur l'arrière de la cuisse. Plus rarement, la douleur peut aussi toucher le genou.
Certaines personnes voient leurs symptômes déclenchés par une activité trop soutenue. Chez d'autres, c'est l'immobilité qui amplifie la douleur.
Le plus souvent, l'arthrose est une dégénérescence due au vieillissement naturel du corps humain. Elle touche majoritairement les plus de 60 ans.
Néanmoins, la pratique de sport intensive, un traumatisme, une maladie articulaire, une prédisposition génétique ou bien encore une malformation congénitale de la hanche peuvent être des causes d'arthrose prématurée.
La douleur est traitée via du paracétamol en premier lieu, puis des anti-inflammatoires non stéroïdiens en cas de douleur récalcitrante.
Des infiltrations de corticoïdes dans la hanche peuvent aussi être prescrites si les médicaments par voie orale n'ont pas soulagé le patient ou la patiente.
Un programme de rééducation mis au point par un ou une kinésithérapeute permet ensuite de renforcer les muscles (pour conserver une bonne stabilité et décharger l'articulation) et de travailler la mobilité de la hanche.
En dernier recours, un chirurgien orthopédique peut proposer une intervention chirurgicale conservatrice ou la pose d'une prothèse de hanche.
La bursite est l'inflammation d'une bourse séreuse, une sorte de petit coussin protecteur rempli de liquide synovial et placé entre des muscles, des tendons, des tissus, la peau, des os en contact afin de faciliter le glissement des uns contre les autres.
Les bourses séreuses de la hanche sont nombreuses mais c'est le plus souvent la bourse trochantérienne, située entre les tendons de la hanche et la partie du fémur appelée « grand trochanter », qui est en cause.
Grand trochanter
La bursite provoque une douleur au niveau de la hanche et sur l'avant de la cuisse. Souvent les douleurs s'intensifient la nuit. C'est notamment le cas pour les dormeurs sur le côté qui appuient sur la bourse enflammée.
Les causes d'une bursite sont mécaniques. L'inflammation de la bourse naît d'un surmenage physique dans le cadre de la vie professionnelle ou personnelle : marche prolongée, course à pied intensive, mouvements répétitifs lors desquels la hanche est sollicitée, pression prolongée sur la hanche, posture délétère, asymétrie des hanches, traumatisme,...
Une bursite de la hanche peut aussi apparaître en cas d'arthrite inflammatoire.
La douleur sera prise en charge par des antalgiques plus ou moins forts administrés par voie orale, voire des infiltrations. Une poche de glace peut aussi être appliquée sur la zone douloureuse pendant 15 minutes 2 ou 3 fois par jour. Dans ce cas, pensez à protéger votre peau par un tissu avant d'y poser la poche. N'excède pas 3 à 4 jours : votre peau pourrait être lésée.
L'inflammation est traitée par des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
Puis un ou une kinésithérapeute proposera des manipulations pour soulager la pression. Lorsque la phase de crise aiguë sera passée, il mettra en place un programme de renforcement musculaire si besoin.
Il arrive qu'une bursite de la hanche s'accompagne d'une tendinite des muscles fessiers parfois appelée « péri-trochantérite». En effet, 5 muscles sont reliés au grand trochanter. Certains sont extrêmement puissants, comme le moyen fessier, et sont fortement sollicités. Le surmenage entraîne une inflammation des tendons, ces bandes de fibres solides qui relient un muscle à un os.
Bursite, tendinite de la hanche, déchirement des muscles fessiers sont des pathologies parfois regroupées sous le terme « syndrome douloureux du grand trochanter » (SDGT).
La douleur qui se situe au niveau de la hanche peut être amplifiée la nuit si vous dormez sur le côté.
Les causes et le traitement d'une bursite et d'une péri-trochantérite sont les mêmes.
L'arthrose, la bursite, la péri-trochantérite sont des pathologies inflammatoires qui provoquent des douleurs au niveau de la hanche. Elles sont parfois rassemblées sous le terme « arthrite » (du grec arthron, « articulation » et ite, « inflammation »).
Autre point commun, ces pathologies s'accompagnent souvent d'une douleur de hanche la nuit. Il y a 2 raisons principales à cela :
D'autres pathologies ont pour symptôme courant une douleur au niveau de la hanche sans que pour autant la nuit soit un temps particulièrement difficile : le patient ressent de façon égale la douleur de jour comme la nuit. En voici une liste non-exhaustive :
Notez que la douleur peut tout de même être amplifiée la nuit dans le cadre de ces pathologies par la position du dormeur. Bonne nouvelle : c'est un élément que nous pouvons corriger.
Une douleur lancinante au niveau de la hanche vous empêche de bien dormir ? Peut-être est-ce dû à la pathologie en elle-même, comme nous l'avons vu plus haut. Ou peut-être est-ce juste la conséquence d'une mauvaise posture dans le sommeil. Dans les 2 cas, des solutions faciles à mettre en place et à la portée de tous existent et peuvent vous soulager.
Votre douleur à la hanche ne se calme pas, même en position assise ou allongée dans votre lit ?
Levez-vous et faîtes quelques pas ou quelques minutes de vélo d'appartement tout en douceur. Cela pourrait vous soulager.
Essayez d'apposer une source de chaleur sur la hanche, sur vos fesses ou sur le côté externe de la cuisse. Cela provoquera une détente musculaire, dénouera les tensions et augmentera l'élasticité de l'articulation. Utilisez pour cela une bouillotte entourée d'un linge humide.
Pour épargner son squelette et ses ligaments, tendons et muscles, il est primordial de soigner sa position durant le sommeil. Vos hanches notamment vous remercieront.
Que vous soyez atteint d'une pathologie ou non, il est important de ne faire subir qu'une pression minimale sur vos articulations.
Pour ce faire, un alignement neutre entre votre tête, nuque, colonne vertébrale et vos hanches doit être votre Graal.
Positions dans le sommeil
Un mauvais alignement entraîne notamment une pression accrue sur les tendons, les ligaments, les muscles et les os de l'articulation coxo-fémorale.
Cette pression est encore maximisée dans le sommeil : les muscles relâchés ne travaillent plus à la stabilité du corps et à l'alignement des segments corporels. Le poids du corps n'est plus compensé par le gainage.
Comme nous l'avons vu plus haut, bon nombre de pathologies mettent déjà à mal les os et les tissus de la hanche : inutile de les fragiliser d'avantage.
Si vous dormez sur le côté, investissez dans un oreiller ergonomique pensé pour vous : choisissez un support ferme afin de soutenir le poids de votre tête et maintenir votre colonne dans l'axe, une hauteur/épaisseur à déterminer en fonction de votre largeur d'épaule et, pourquoi pas, un pourtour profilé qui accueille le renflement de vos épaules.
Afin que vos hanches ne s'affaissent pas vers l'avant durant la nuit et restent bien parallèles, glissez un oreiller entre vos cuisses. Il existe des coussins ergonomiques prévus à cet effet.
Hanches non soutenues versus hanches soutenues
La position sur le dos est celle qui fait intrinsèquement peser le moins de contraintes sur l'articulation coxo-fémorale.
Il faut toutefois veiller à avoir un oreiller adapté. Un coussin trop fin notamment ne soutiendra pas suffisamment la tête, la nuque sera en hyperextension ce qui entraînera un creusement des lombaires et exercera une pression accrue sur l'articulation de la hanche.
Optez pour un oreiller à mémoire de forme à la densité ferme et d'une épaisseur adaptée à votre morphologie (la plupart des oreillers ergonomiques existe en diverses tailles).
Pour encore soulager vos hanches, glissez un petit traversin sous vos genoux. Cela permettra de bien plaquer les lombaires au matelas et délestera encore un peu plus vos hanches.
Surélévation des genoux lorsque l'on dort sur le dos
Cette position dans le sommeil est un peu plus compliquée à négocier lorsque l'on souffre de douleur dans la hanche la nuit.
Relevez la hanche douloureuse vers le torse et glissez un fin coussin, une couverture pliée, ou un coussin séparateur de jambes spécifique sous votre genou afin de le positionner à la même hauteur que votre hanche.
Surélévation du genou lorsque l'on dort sur le ventre
Que vous soyez atteint d'une pathologie de la hanche ou non, que vous ressentiez une douleur dans la hanche la nuit régulièrement ou pas, il est important de travailler la stabilité et la mobilité de l'articulation. Cela permet d'amoindrir les douleurs chroniques et de préserver votre capital santé.
Voici quelques exercices pour y parvenir.
Adaptez ces exercices à votre condition physique.
Notez que si une douleur apparaît ou s'amplifie, c'est que l'exercice ne vous convient pas. Ne persévérez pas et parlez-en à votre médecin.
Travailler la souplesse du bassin et des muscles qui y sont attachés est primordial car cela permet de déverrouiller la hanche. Des muscles trop tendus font inévitablement peser une tension excessive sur l'articulation coxo-fémorale qui compense leur manque de souplesse.
Des hanches peu mobiles peuvent être la cause de vos douleurs de hanche la nuit.
Voici un test vous permettant d'auto-évaluer votre mobilité de hanche.
1/ Tester l'ouverture de hanche :
Assis au sol, genoux pliés devant vous, ouvrez les genoux vers le sol, plantes de pied jointes. Plus l'angle d'ouverture est petit, plus la mobilité fait défaut et sera à travailler.
2/ Tester la rotation interne et externe de la hanche:
Asseyez-vous par terre, genoux pliés, pieds au sol bien écartés. Prenez appui sur vos mains en les posant au sol derrière vous.
Enroulez votre hanche vers l'intérieur en faisant tomber votre genou gauche vers la droite, puis votre genou droit vers la gauche.
Pour tester votre rotation externe de hanche, partez de la même position mais déroulez votre hanche vers l'extérieur en faisant tomber votre genou droit vers la droite, puis votre genou gauche vers la gauche.
3/ Tester l'abduction et l'adduction de la hanche:
Mettez-vous à genoux et tendez la jambe droite latéralement puis ouvrez la hanche vers le sol pour tester l'amplitude d'ouverture (« abduction ») de vos hanches.
Faites de même avec la jambe gauche.
Posez le genou gauche à terre et posez le pied de la jambe droite au sol. Fermez la hanche en ramenant le genou droit vers l'intérieur pour tester la fermeture (« adduction ») de vos articulations coxo-fémorales.
Faites de même avec la jambe gauche.
4/ Tester l'extension de la hanche:
Mettez-vous à genou, un genou à terre et le pied opposé au sol.
Avancez votre bassin vers l'avant jusqu'à sentir l'extension de votre hanche (15° maximum)
Testez l'autre hanche.
Si lors des différents tests vous remarquez un manque d'amplitude ou un tiraillement musculaire ou ligamentaire, c'est que la mobilité des hanches peut être améliorée.
Pour ce faire, pratiquez des étirements et du renforcement des muscles situés à l'intérieur de la cuisse ainsi que des exercices permettant de libérer l'articulation coxo-fémorale.
Des muscles performants permettent de stabiliser le corps lors des mouvements et de minimiser les faux-mouvements délétères. En un mot, ils protègent l'articulation coxo-fémorale.
En cas de pathologie avérée, le renforcement musculaire permet d'enrayer l'avancée de la maladie. Il joue un grand rôle sur la diminution des symptômes, notamment de la douleur de hanche la nuit. Et en prévention, il garantit un corps bien-portant dans la durée.
Voici 2 tests vous permettant d'auto-évaluer votre stabilité de hanche.
Test n°1
Debout, levez un pied. Si vous avez du mal à garder votre corps dans l'axe et votre bassin parfaitement horizontal, c'est que votre musculature est défaillante.
Test n°2
Mettez-vous debout sur un pied, jambes tendues.
Faites un mouvement de balancier avec la jambe qui n'est pas posée au sol : faîtes-la passer devant vous puis derrière vous.
Si vous ne parvenez pas à maintenir votre bassin parfaitement immobile, un renforcement musculaire s'impose.
Allongez-vous sur le dos, les genoux pliés et les bras le long du corps. Pieds au sol, montez doucement les fesses pour former un pont. Puis reposez les fesses au sol en contrôlant la descente.
Assurez-vous d'être bien gainé tout du long. Votre bassin doit rester bien horizontal durant l'exercice. Répétez 12 fois. Faîtes plusieurs séries si vous en avez la capacité.
Vous pouvez corser le jeu en levant les bras vers le ciel et/ou en plaçant un pied sur le genou opposé.
Renforcement musculaire – le pont
Vous pouvez encore augmenter la difficulté en plaçant vos pieds sur un ballon de gym. Pour compenser le déséquilibre dû au ballon, il vous faudra mobiliser vos muscles stabilisateurs profonds plus intensément. Le renforcement musculaire sera démultiplié.
Renforcement musculaire – le pont en déséquilibre
Allongez-vous sur le côté, prenez appui sur votre avant-bras et soulevez vos hanches.
Votre tête, vos hanches, vos genoux et vos pieds doivent être alignés.
La planche
Maintenez la position quelques secondes puis reposez vos hanches sur le sol en contrôlant la descente.
Si l'exercice est trop difficile, vous pouvez placer un gros coussin sous votre hanche : l'amplitude du mouvement sera réduit.
Si au contraire vous souhaitez augmenter la difficulté, vous pouvez ouvrir le bras et la jambe.
Notez que le renforcement musculaire et les étirements sont des exercices à décliner pour toutes les zones corporelles. En effet, le corps humain compense naturellement toute défaillance : à terme cette sur sollicitation compensatrice sera source de douleurs. Un entretien global et régulier est votre meilleur atout pour vous sentir à l'aise dans votre corps.
Cet article a été rédigé par un expert dans le domaine et est destiné au grand public. Les informations fournies reflètent l'état actuel des connaissances sur le sujet à la date de sa publication. Par conséquent, il ne doit pas être utilisé comme une alternative aux recommandations et conseils de professionnels de la santé qualifiés, tels que votre médecin ou pharmacien.
À PROPOS DE L’AUTEUR
Lidia Perner a plus de 20 ans d'expérience dans le secteur de la santé et du bien-être. En développant des produits qui offrent des réels bénéfices et en les introduisant avec succès sur le marché, Lidia a aidé des milliers de personnes à améliorer leur qualité de vie. Elle est passionnée par les modes de vie sains et diverses activités physiques. Lidia est fondatrice et PDG d'Inphysio.fr. Vous pouvez retrouver Lidia sur Linkedin.
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